Dans l’univers Harry Potter, les horcruxes sont communément admis comme la plus vile, la plus sombre forme de magie noire. Cette pratique reste profondément tabou, interdite, et on imagine volontiers qu’il n’est rien de pire que le... voir plus
cette BD j’l’ai beaucoup aimé parce qu’elle est drôle pleine d’humour et donnant aux connaisseurs d’harry potter des références aux livres et films .
Un parodie comme on les aimes ! Humour, rires, perplexité et souvenirs sont au rendez-vous. Une superbe idée cadeau pour Noël (ou autre occasion) pour les fans d’Harry Potter :)
Je le conseille vraiement car c’est un univers génial pour les petits tandis que moi j’ai 12 ans je l’adore follement rnMerci à plus !!!!!
Dans l’univers Harry Potter, les horcruxes sont communément admis comme la plus vile, la plus sombre forme de magie noire. Cette pratique reste profondément tabou, interdite, et on imagine volontiers qu’il n’est rien de pire que le recours à ce sortilège.
On nous cache la vérité. En concentrant toute notre attention sur les terribles fragments d’âmes, le Ministère de la Magie nous détourne sciemment d’une forme de magie bien plus effroyable encore. Effectivement, un puissant sorcier dont nous tairons le nom (appelons-le Alexandre Harlyne) utilise dans le plus grand secret un nouveau pouvoir qui terrasse tout sur son passage. Ce brillant sang-de-bourbe maîtrise parfaitement le sort de parodium, qui permet de tourner en dérision tout l’univers de Poudlard et consort. Au fil des pages de sa Grande Œuvre Noire, affectueusement nommée « Bloody Harry », il fait se tortiller de rire n’importe quel moldu par le sortilège de l’enrigolis.
Au grand dam de Cornélius Fudge, le sombre livre a fuité du Département des Mystères et déboule aujourd’hui avec la coupable complicité de vos éditeurs préférés.
Ami lecteur, nous connaissons ta curiosité. Te voilà dévoré par l’envie de connaître le contenu de ce fameux ouvrage. C’est bien simple, Bloody Harry serait la première chose à apparaître dans le miroir du Riséd si tu venais à le croiser.
Comme nous te comprenons ! Avec au programme un Ron précocément libidineux, des sorts délicieusement foirés, du mauvais esprit à chaque page et Harry et Hermione qui enlèvent le bas sous nos yeux ébahis, il faut bien reconnaître que le secret le mieux gardé du Ministère de la Magie ne manque pas de piquant. N’hésite pas plus longtemps… Compromets ton âme en ouvrant la Grande Œuvre Noire, tu ne le regretteras pas !
J’ai toujours détesté la lecture et la littérature… Comme bien des jeunes, je lisais des bandes dessinées durant ma jeunesse, mais des romans, je n’ai aucun souvenir sauf ceux imposés par l’école. C’est en 2001, grâce à une amie qui possédait les quatre premiers tomes de la saga Harry Potter que j’ai commencé à lire. À vrai dire, j’ai lu les quatre premiers tomes en moins d’un mois. J’ai directement adhéré à l’univers et ses personnages. Imaginez le bonheur et la joie lorsque j’ai vu cette bande dessinée qui parodiait l’une de mes séries littéraires cultes ! J’étais aux anges… rnrnJe peux vous dire que l’auteur Alexandre en a de l’imagination. Évidemment, il s’est fortement inspiré de l’univers et des personnages de la saga, mais il a mis sans contredit sa touche personnelle dans les petites histoires qu’il nous présente. Sourires et rires garantis avec Bloody Harry. Les illustrations sont drôles, colorées et toutes en rondeurs. L’auteur nous offre une bande dessinée sanglante par moment, osée à d’autres, mais sans contredit, hilarante ! rnrnPlusieurs d’entre vous se remémoreront des scènes des films durant la lecture de Bloody Harry, et ce, à notre grand bonheur. Les vrais fans d’Harry ne se lassent pas de voir et revoir les films ainsi que de lire et relire les romans. Bref, on passe un merveilleux moment et c’est une BD « pages turner ». rnrnInspiré de son blogue qui parodie Harry Potter, Alexandre Arlène a su créer son univers bien à lui. Pour ma part, la magie a complètement opéré sur moi. Mon seul bémol ? Dommage qu’elle ne fasse que 120 pages, car j’en prendrais bien plus !rnrnSource : http://frogzine.weebly.com/chroniques-litteacuteraires/bloody-harry-la-bd-dont-il-ne-faut-pas-prononcer-le-nom